Vieillissement de la clientèle
Pour renouveler une cliente (ancienne génération) de perdue, il faut recruter 4 clients jeunes…
Continuellement, nous rencontrons des coiffeurs exténués et découragés par leurs échecs face aux ressources humaines. Remarquez, par extension, lorsque les médias pointent du doigt, des problèmes de burn out et de suicide suspects, dans de grandes entreprises françaises, le constat est clair : « est-ce que le management a su s’adapter à l’évolution de la société ? »
Pour les anciennes générations, l’éducation était très présente et excessive, la réussite au travail était la vie. Pour les nouvelles générations, l’absence d’éducation nourrissante laisse un vide. Alors ils font comme ils peuvent, et tentent d’imposer leurs lois, mais avec un handicap majeur : « le manque, voir l’absence d’estime de soi ». Un être en carence d’estime de lui-même n’avance pas ou écrase tout sur son chemin. Tout dépend du mécanisme de protection qu’il aura développé. Une entreprise non préparée à cette réalité, galèrera terriblement et enchaînera les échecs d’intégration et de socialisation. Celles qui vivent avec les salariés « anciennes générations », proches de la retraite ont tout intérêt à anticiper cette réalité. Les conséquences pourraient s’avérer désastreuses.
Nous avons eu la chance de naître dans les années 70 et 72, années charnières entre le trop et le pas assez. Grâce à cet équilibre, et l’aide précieuse de Jacques Dupont, (psychologue clinicien, spécialisé dans l’enfance maltraitée), nous avons mis au point le management d’aujourd’hui et de demain. Nous ne fanfaronnons pas que cela aura été facile, mais à ce jour, nous vous souhaitons de vivre ce que nous vivons avec les 14 jeunes qui forment notre équipe. C’est merveilleux, ils sont géniaux, on les aime et ils nous le rendent bien.
Nous ne prétendons pas donner de leçon, mais de faire partager au plus grand nombre, ce qui fera probablement toute la différence dans les entreprises de demain.
Pour renouveler une cliente (ancienne génération) de perdue, il faut recruter 4 clients jeunes…
Les visites s’espacent, les services sont différents : plus d’effet racines – le moins d’entretien possible etc…
Le chacun pour soi conduit au replis sur soi. Les salons s’isolent de plus en plus…
Relationnel communication – 80%
Services techniques – 20%
Chercher son second.
31 ans : faillite,
32 ans : battu aux élections législatives,
34 ans : nouvelle faillite,
35 ans : décès de celle qu’il aimait, emportée par la maladie,
36 ans : dépression,
38 ans : battu aux élections locales,
43 ans : battu aux élections du congrès,
46 ans : battu aux élections du congrès,
48 ans : battu aux élections du congrès,
53 ans : battu aux élections du sénat,
58 ans : battu aux élections du sénat,
60 ans : Élu président des États-unis d’Amérique.
Nuits entières de travail dans son atelier du New Jersey pour inventer l’ampoule électrique,
Dormant 4 heures par nuit,
À essayé plusieurs milliers de fois,
S’est trompé plusieurs milliers de fois.
Pourquoi n’a-t-il pas désespéré ?
Il était fasciné par tout ce que ses échecs lui apprenaient des lois de la nature,
Il savait qu’il fallait échouer pour réussir ensuite, que jamais aucun savant n’avait aperçu une vérité au premier coup d’œil,
Thomas Edison n’échoue pas, il réussit à essayer,
Il sait que la seule manière de s’approcher de la vérité est d’échouer d’abord à la comprendre.
Abusée sexuellement par son père lorsqu’elle était enfant,
Quitte Paris en 1950 pour tenter sa chance en Belgique, pour concrétiser son rêve de « pianiste chantante »,
Peine pour trouver un cabaret lui donnant sa chance,
Lorsqu’elle y parvient, elle interprète du Piaf ou du Gréco mais doit s’interrompre, les sifflets du public sont trop forts !
Retourne à Paris fin de l’année 1951,
Trouve une place dans un cabaret comme… plongeuse pour un an !
Rencontre le succès dix ans plus tard.
Dans « Nantes », Barbara raconte son arrivée dans cette ville où son père, qu’elle avait perdu de vue, est en train de mourir : « ce vagabond, ce disparu, voilà qu’il m’était revenu ». Mais elle arrive trop tard: « je n’ai pas posé de questions, à ces étranges compagnons, je n’ai rien dit mais à leurs regards, j’ai compris qu’il était trop tard ». Elle a commencé à composer cette chanson d’une beauté à vous couper le souffle, d’une infinie dignité, le lendemain de l’enterrement de son père.
Comme elle le raconte dans L’Aigle Noir, cette homme qui lui a volé son enfance mais qui voulait quand même, « avant de mourir, se réchauffer à son sourire ». Il mourra « sans un adieu, sans un je t’aime ».
C’est au contact des épreuves que ces textes sont nés, celui ou celle dont l’enfance fut un long fleuve tranquille ne peut composer une telle chanson !
Perd sa mère d’une sclérose en plaque,
Est quittée par son mari,
Perd son emploi chez Amnesty International,
Se retrouve à Edimbourg, sans revenu, avec sa fille en bas age,
Sans ressources pour faire garder sa fille,
Fréquente les pubs d’Edimbourg la nuit et se met à écrire, sa petite endormie dans le landau à ses côtés !
Le livre terminé (Harry Potter), elle proposa les premiers chapitres à un agent, qui les lui retourna aussitôt,
Elle en trouva un autre et ensemble, ils essuyèrent une douzaine de refus d’éditeurs…
Lorsqu’elle fut enfin publiée et rencontra le succès que l’on sait, elle comprit que ce qu’elle avait d’abord pris pour un échec cuisant, l’avait en fait aiguillée vers une voie qui lui correspondait plus, mais dont sa vie d’avant, en apparence plus « réussie », l’avait en vérité détournée…
Des chercheurs du laboratoire Pfizer voulaient traiter des angines de poitrine avec une substance chimique, le citrate de sildénafil, mais ils manquèrent leur but. La substance ne produisit pas l’effet escompté, mais un effet secondaire inattendu : de fortes érections !
Ils avaient échoué à soigner l’hypertension artérielle pulmonaire, mais venaient de découvrir le remède à l’impuissance que les hommes cherchaient depuis des siècles…
L’une des sœurs se rendit compte qu’elle avait oublié la pâte dans sa tarte aux pommes. Elle n’avait disposé dans son moule que des pommes et du sucre, avait lancé la cuisson et devait maintenant servir le dessert.
L’idée jaillit alors : elle ouvrit le four, déposa la pâte par-dessus les pommes et la laissa cuire quelques minutes. Les chasseurs adorèrent cette tarte croustillante et caramélisée.
Échouant dans sa recette, elle venait d’inventer la tarte Tatin – une tarte aux pommes…manquée !
Pour un client ancienne génération perdu, il faut recruter 4 clients jeunes…
Quel est l’avenir des salons de coiffure ?
Les visites s’espacent. Beaucoup de salons survivent grâce à une clientèle âgée, habituée à se faire coiffer tous les mois, voire toutes les semaines, ce qui sera totalement différent avec les nouvelles générations. Que se passera-t-il quand elles auront disparu ?
N’est-ce pas une des premières causes de fermeture des salons de coiffure, une incapacité à renouveler sa clientèle ?
Attirer à tout prix une nouvelle clientèle jeune, dans son salon…
« Démontrer de l’intelligence sans ambition est similaire à un oiseau sans ailes. » – Salvador Dali
J’ai envie de tout améliorer à l’intérieur de mon salon.
J’ai envie de voir mon équipe réussir… et ils le ressentent.
J’ai envie de sortir de la "politique de l’autruche" et d’aligner mes actes avec mes désirs.
Je construis le management de mon entreprise.
J’apprends à distinguer "accompagner" et "me décharger sur mes équipes".
Je mets tout en œuvre pour inspirer mes subordonnés à suivre mon exemple.
J’adopte une politique de formation continue pour faire monter l’image du salon et me démarquer significativement de mes concurrents.
J’entraîne mon équipe.
Je coule des fondations techniques et artistiques solides uniquement axées sur le cœur du métier.
Je construis les connaissances en présentiel à l’académie.
J’optimise les moments creux au salon grâce à l’e-learning.
Depuis le siècle dernier, où des visionnaires telles que les sœurs Carita, Jacques Dessanges (père), Alexandre de Paris ou Jean-Marc Maniatis avaient propulsé la coiffure Française à la première place mondiale, il ne s’est rien passé. Ils savaient impulser le sens d’un travail de qualité, et surtout, ils étaient tous, sans exception, des coiffeurs talentueux… sinon, comment vouliez-vous que cela fonctionne ?
Aujourd’hui, on voudrait nous faire croire qu’avec 3 ou 4 techniques tendances, ça va fonctionner... Pour acheter plus de produits certainement, mais pour progresser en coiffure, certainement pas. Malheureusement, un grand nombre y croit et suit ce mouvement !
Seulement, nous voyons bien que nous sommes arrivés à épuisement de ce que ces maîtres coiffeurs avaient inspiré. La vie étant un perpétuel mouvement d’évolution, une mort s’est enclenchée et une nouvelle forme de coiffure frémit, laissant penser qu’il va falloir sérieusement se remettre au travail. Le vrai, celui qui rend les mains intelligentes et les cheveux beaux !
Je m'amène MOI-MÊME à un niveau supérieur !
Je fais grimper mon propre niveau au-dessus de mes salariés pour provoquer un vide à nourrir, l’exemple à suivre…
Face aux obstacles, je résiste jusqu’à temps de dépasser mes propres frustrations.
Je bannis impérativement toute forme de fuite.
Je sors d’une position de victime, je décide de devenir acteur de mon entreprise.
Je persiste jusqu’à temps d’accéder à la rentabilité…
Quelle est la nature de cette passion qui nous anime. De la folie ? Ou un désir poignant de projeter la coiffure dans le futur ? Eh oui, nous cherchons et trouvons des solutions pour nous ouvrir l’accès à tous, vers ce qui se fera de mieux demain. Nous réinventons la façon d’opérer dans ce beau métier... vaste chantier ! Mais le jeu n’en vaut-il pas la chandelle ?
Le monde bouge, la coiffure s’empoussière et reste cantonnée à de minables démonstrations tendances qui n’apportent plus rien, sinon plus de stock dans les placards et, par conséquent, moins de trésorerie en banque... STOP ! ARRÊTONS CELA.
D’un autre côté, en ces temps de crise, n’est ce pas une des professions qui résistent le mieux ? Se faire couper les cheveux sur internet ne fonctionne pas encore, tout du moins pas pour le moment... mais nous y travaillons !
Notre histoire est avant tout une question de rencontre, celle qui bouleverse toutes les idées préconçues, celle qui secoue chacun au plus profond de lui-même, jusqu’à temps de découvrir de nouvelles pistes d’inspiration, de réflexion et surtout de les mettre en application ! N’est-ce pas merveilleux ? Plutôt que de s’enliser dans nos habitudes vieillottes, qui nous conduisent inévitablement dans une impasse.
Nous sommes fiers et heureux de partager cela avec vous, déterminés, croyez-le bien, à mener l’innovation très loin !
En dessous de 9% de nouveaux clients, le salon est en situation potentielle de dépôt de bilan.
Égal à 9% de nouveaux clients, le salon se développe sereinement,
Au dessus de 9%, le salon devient leader dans sa localité et recrute progressivement la clientèle des autres.
Qui mesure réellement cet impact dans son salon ?
Comment parvenir sans effort supplémentaire à obtenir 1 à 2 points de marge bénéficiaire…
L’impact est édifiant !
Application Connivence…
Un bébé s’accroche s'il le veut.
La mère met tout en œuvre pour que la vie tourne autour de son enfant.
Énergie de vie = énergie vitale innée.
Code de vie = éducation.
Trop de limites : je refuse de m’appuyer sur moi-même, je ne peux pas me faire confiance, puisqu’on ne m’a jamais fait confiance !
Solution : j’accélère le parcours de formation avec une grande fermeté.
Pas assez de limites : je « dévore » tout sur mon passage, je ne peux pas compter les autres.
Solution : je ralentis le parcours de formation avec une grande douceur.
L’obliger à sortir entièrement de son emprisonnement en l’insérant dans l’équipe !
Lui faire découvrir ce qu’il est capable de faire, pour qu’il puisse se voir réussir.
Lui faire chercher sa couleur unique, sa singularité… et lui apprendre sans aucune condition à l’aimer de tout son cœur !
Affectivité / affect.
Cadre / Autorité.
Lorsque l’on apprend, on a tous toujours besoin de voir ses résultats dans le regard de l’autre. L’absence de commentaire laisse un vide interprété par « si on ne me dit rien, c’est que c’est mal… donc je ne vaux rien ». Attention !
Notre devoir de formateur, accompagnant, éducateur, manager, c’est de conduire chaque jeune vers sa propre réussite. Nous sommes tous sur cette terre à durée déterminée, donc nous sommes tous égaux. L’issue sera la même pour tous. Quelle idiotie absolue que de bâtir sa réussite en piétinant les autres. Celui qui ne comprend pas cela passe à côté de l’essentiel, et cet essentiel réside dans ce partage… au fond des yeux !
Le savoir se transmet naturellement.
Tout le monde réussit et s’épanouit.
L’entreprise se développe.
APPRENTI | COLLABORATEUR
MANAGER 1ÈRE LIGNE
MANAGER 2ÈME LIGNE
ACADÉMIE | CENTRE DE RECHERCHE
Chacun à sa place... et une belle symphonie résonne !
Lui faire chercher sa couleur unique, sa singularité… et lui apprendre sans aucune condition à l’aimer de tout son cœur !
| +15 | - Mes micro réussites me plaisent et me donnent l'envie d'aller plus loin |
|---|---|
| +10 | - Je suis sensible aux remarques de mon manager, j'apprécie qu'il m'apprécie, ça me donne des ailes ! |
| +5 | - Une autre forme d'intelligence me pousse à faire confiance. Je rebondis et je progresse = résilience |
| 0 | |
| -5 | - Les phrases de valorisation... je ne peux ni l'entendre ni y croire. Je ne fais pas confiance à mon manager |
| -10 | - Mes échecs monopolisent mon attention. Je recherche la pitié et la complainte |
| -15 | - Le fond de mon être se sclérose. Je ne peux donner ma confiance. Je reste figé, je ne progresse pas, je ne rebondis pas |
Pour les anciennces générations, l’éducation était très présente et excessive, la réussite au travail était la vie. Pour les nouvelles générations, l’absence d’éducation nourrissante laisse un vide. Alors ils font comme ils peuvent, et tentent d’imposer leurs lois, mais avec un handicap majeur : le manque, voir l’absence d’estime de soi. Un être en carence d’estime de lui-même n’avance pas ou écrase tout sur son chemin. Tout dépend du mécanisme de protection qu’il aura développé. Une entreprise non préparée à cette réalité, galèrera terriblement et enchaînera les échecs d’intégration et de socialisation. Celles qui vivent avec les salariés anciennes générations ont tout intérêt à anticiper cette réalité. Les conséquences pourraient s’avérer désastreuses…
« Le temps des revues "cornées" est bien loin derrière nous. La crise sanitaire étant passée par là, il n’est plus question de faire passer des magasines entre les mains de tout un chacun. Et puis, le monde moderne regorge d’innovation tel que des séries courtes correspondant parfaitement au temps de pause nécessaires lors de travaux techniques.
L’heure du digital sonne fortement pour l’amélioration de l’expérience client dans un salon de coiffure ! »
« Les tendances ne s’apprennent pas, c’est un leurre… Elles surgissent suite à la qualité de la rencontre entre un coiffeur (au point) et son client ». C’est le point de départ de la fidélisation !
Obtenir une progression du chiffre d’affaires de 20 %.
« Segmenter le salon de coiffure en leviers permet de faire apparaître les points à améliorer.
Ainsi, chaque pièce du « puzzle » est façonnée, travaillée, améliorée. L’assemblage final fait monter l’image du salon qui fidélise la clientèle et en attire une nouvelle. C’est le chemin qui conduit à la rentabilité… »